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Virus | malwares | cyberintrusion

Comment les cybercriminels s’en prennent aux entreprises sans utiliser de programme malveillant.


mardi 6 septembre 2022

L’attaque commence généralement par un e-mail frauduleux classique. Les criminels se font passer pour les représentants d’un service en ligne et essaient de convaincre le destinataire qu’il vient de souscrire à un abonnement et que le montant sera débité le lendemain. Si l’employé veut annuler l’opération ou obtenir plus de renseignements, il doit appeler le numéro de téléphone qui figure dans le fichier joint à l’e-mail.

C’est là que se trouve le piège, n’est-ce pas ? Non. Contre toute attente, le fichier ne contient aucun programme malveillant. Ainsi, il est fort probable que l’antivirus autorise l’utilisateur à l’ouvrir. A ce moment-là, l’objectif des cybercriminels est d’inciter l’employé à appeler le numéro.
…/…

Lire l’intégralité de l’article sur :


 

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Comment les cybercriminels s’en prennent aux entreprises sans utiliser de programme malveillant.

L’attaque commence généralement par un e-mail frauduleux classique. Les criminels se font passer pour les représentants d’un service en ligne et essaient de convaincre le destinataire qu’il vient de souscrire à un abonnement et que le montant sera débité le lendemain. Si l’employé veut annuler l’opération ou obtenir plus de renseignements, il doit appeler le numéro de téléphone qui figure dans le fichier joint à l’e-mail.

C’est là que se trouve le piège, n’est-ce pas ? Non. Contre toute attente, le fichier ne contient aucun programme malveillant. Ainsi, il est fort probable que l’antivirus autorise l’utilisateur à l’ouvrir. A ce moment-là, l’objectif des cybercriminels est d’inciter l’employé à appeler le numéro.
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L’attaque commence généralement par un e-mail frauduleux classique. Les criminels se font passer pour les représentants d’un service en ligne et essaient de convaincre le destinataire qu’il vient de souscrire à un abonnement et que le montant sera débité le lendemain. Si l’employé veut annuler l’opération ou obtenir plus de renseignements, il doit appeler le numéro de téléphone qui figure dans le fichier joint à l’e-mail.

C’est là que se trouve le piège, n’est-ce pas ? Non. Contre toute attente, le fichier ne contient aucun programme malveillant. Ainsi, il est fort probable que l’antivirus autorise l’utilisateur à l’ouvrir. A ce moment-là, l’objectif des cybercriminels est d’inciter l’employé à appeler le numéro.
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