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Ivan Kwiatkowski, chercheur senior de l’équipe Global Research & Analysis de Kaspersky


lundi 30 mai 2022

Ivan habite à Clermont-Ferrand, dans le centre de la France. Il écrit des romans fantastiques, fait un peu de plongée et veut que chaque jour soit inoubliable. Il est aussi membre de l’équipe internationale Global Research & Analysis (GReAT), le groupe d’experts remarquables de Kaspersky qui a découvert Carbanak, Cozy Bear, Equation et bien d’autres menaces et malwares sophistiqués partout dans le monde

  •  Ivan, la première question qui me vient à l’esprit est liée à ton nom : es-tu d’origine slovaque ?
  • Tu étudies les programmes malveillants et les groupes de cybercriminels. Comment en es-tu arrivé là ? Je ne pense pas qu’il y ait une formation spécifique à l’université.
  • C’est marrant que tu dises ça parce que ma prochaine question est justement liée à ça : est-ce possible d’être chercheur en sécurité sans être un hacker né ?
  • Comment es-tu arrivé chez Kaspersky ?
  • Les membres de FireEyes ont déclaré qu’ils font preuve de discrétion lorsqu’ils révèlent publiquement un programme malveillant : ils ne se précipitent pas pour signaler publiquement un malware s’il a été créé par un organisme du gouvernement américain. Cette position est compréhensible pour une entreprise américaine. Mais qu’en est-il de GReAT ? L’équipe est internationale, avec des chercheurs de Russie, d’Occident, d’Asie… des quatre coins du monde. Comment l’équipe a-t-elle résolu ces problématiques, le cas échéant ?
  • L’équipe GReAT a organisé un webinaire en mars et a analysé les attaques informatiques en Ukraine: HermeticWiper, WisperGate, Pandora… En même temps, il y avait une vague d’attaques contre les organisations russes : wiper, attaque par déni de service ou harponnage. Pourtant, GReAT n’a rien publié de spécial sur ces attaques. Pourquoi ?
  • Nous avons entendu que le groupe Anonymous dit avoir abîmé certains sites russes, et il est vrai que certains sites ont été affectés. Penses-tu que ces actions « d’Anonymous » aient vraiment un lien avec ce mouvement qui existe depuis 15 ans ?
  • Certains gouvernements européens recommandent à leurs citoyens de ne pas utiliser les produits Kaspersky. Il semblerait que la France essaie de rester neutre. Est-ce à cause des élections ? Ou les Français voient-ils le conflit en Ukraine différemment ?
  • Qu’en est-il de la communication entre GReAT et les autres acteurs de la sécurité des informations ? Certaines organisations coupent les ponts avec Kaspersky. Cette décision affecte-t-elle ton travail ?
  • Comment les experts de GReAT communiquent-ils entre eux ? Organisez-vous régulièrement des réunions ? Vas-tu souvent à Moscou pour boire une bière avec tes collègues ?

Lire l’intégralité de l’article et les réponses de Ivan Kwiatkowski


 

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Ivan habite à Clermont-Ferrand, dans le centre de la France. Il écrit des romans fantastiques, fait un peu de plongée et veut que chaque jour soit inoubliable. Il est aussi membre de l’équipe internationale Global Research & Analysis (GReAT), le groupe d’experts remarquables de Kaspersky qui a découvert Carbanak, Cozy Bear, Equation et bien d’autres menaces et malwares sophistiqués partout dans le monde

  •  Ivan, la première question qui me vient à l’esprit est liée à ton nom : es-tu d’origine slovaque ?
  • Tu étudies les programmes malveillants et les groupes de cybercriminels. Comment en es-tu arrivé là ? Je ne pense pas qu’il y ait une formation spécifique à l’université.
  • C’est marrant que tu dises ça parce que ma prochaine question est justement liée à ça : est-ce possible d’être chercheur en sécurité sans être un hacker né ?
  • Comment es-tu arrivé chez Kaspersky ?
  • Les membres de FireEyes ont déclaré qu’ils font preuve de discrétion lorsqu’ils révèlent publiquement un programme malveillant : ils ne se précipitent pas pour signaler publiquement un malware s’il a été créé par un organisme du gouvernement américain. Cette position est compréhensible pour une entreprise américaine. Mais qu’en est-il de GReAT ? L’équipe est internationale, avec des chercheurs de Russie, d’Occident, d’Asie… des quatre coins du monde. Comment l’équipe a-t-elle résolu ces problématiques, le cas échéant ?
  • L’équipe GReAT a organisé un webinaire en mars et a analysé les attaques informatiques en Ukraine: HermeticWiper, WisperGate, Pandora… En même temps, il y avait une vague d’attaques contre les organisations russes : wiper, attaque par déni de service ou harponnage. Pourtant, GReAT n’a rien publié de spécial sur ces attaques. Pourquoi ?
  • Nous avons entendu que le groupe Anonymous dit avoir abîmé certains sites russes, et il est vrai que certains sites ont été affectés. Penses-tu que ces actions « d’Anonymous » aient vraiment un lien avec ce mouvement qui existe depuis 15 ans ?
  • Certains gouvernements européens recommandent à leurs citoyens de ne pas utiliser les produits Kaspersky. Il semblerait que la France essaie de rester neutre. Est-ce à cause des élections ? Ou les Français voient-ils le conflit en Ukraine différemment ?
  • Qu’en est-il de la communication entre GReAT et les autres acteurs de la sécurité des informations ? Certaines organisations coupent les ponts avec Kaspersky. Cette décision affecte-t-elle ton travail ?
  • Comment les experts de GReAT communiquent-ils entre eux ? Organisez-vous régulièrement des réunions ? Vas-tu souvent à Moscou pour boire une bière avec tes collègues ?
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  •  Ivan, la première question qui me vient à l’esprit est liée à ton nom : es-tu d’origine slovaque ?
  • Tu étudies les programmes malveillants et les groupes de cybercriminels. Comment en es-tu arrivé là ? Je ne pense pas qu’il y ait une formation spécifique à l’université.
  • C’est marrant que tu dises ça parce que ma prochaine question est justement liée à ça : est-ce possible d’être chercheur en sécurité sans être un hacker né ?
  • Comment es-tu arrivé chez Kaspersky ?
  • Les membres de FireEyes ont déclaré qu’ils font preuve de discrétion lorsqu’ils révèlent publiquement un programme malveillant : ils ne se précipitent pas pour signaler publiquement un malware s’il a été créé par un organisme du gouvernement américain. Cette position est compréhensible pour une entreprise américaine. Mais qu’en est-il de GReAT ? L’équipe est internationale, avec des chercheurs de Russie, d’Occident, d’Asie… des quatre coins du monde. Comment l’équipe a-t-elle résolu ces problématiques, le cas échéant ?
  • L’équipe GReAT a organisé un webinaire en mars et a analysé les attaques informatiques en Ukraine: HermeticWiper, WisperGate, Pandora… En même temps, il y avait une vague d’attaques contre les organisations russes : wiper, attaque par déni de service ou harponnage. Pourtant, GReAT n’a rien publié de spécial sur ces attaques. Pourquoi ?
  • Nous avons entendu que le groupe Anonymous dit avoir abîmé certains sites russes, et il est vrai que certains sites ont été affectés. Penses-tu que ces actions « d’Anonymous » aient vraiment un lien avec ce mouvement qui existe depuis 15 ans ?
  • Certains gouvernements européens recommandent à leurs citoyens de ne pas utiliser les produits Kaspersky. Il semblerait que la France essaie de rester neutre. Est-ce à cause des élections ? Ou les Français voient-ils le conflit en Ukraine différemment ?
  • Qu’en est-il de la communication entre GReAT et les autres acteurs de la sécurité des informations ? Certaines organisations coupent les ponts avec Kaspersky. Cette décision affecte-t-elle ton travail ?
  • Comment les experts de GReAT communiquent-ils entre eux ? Organisez-vous régulièrement des réunions ? Vas-tu souvent à Moscou pour boire une bière avec tes collègues ?
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