mardi 14 mai 2019
Il y a près d’un an, en mai 2018, le député estonien Urmas Paet de la Commission des affaires étrangères rédigeait un rapport sur la cyberdéfense. Ce rapport recommandait l’interdiction d’utilisation du logiciel Kaspersky par les membres de l’Union européenne. Suivant cette recommandation, le 13 juin 2018, le Parlement européen adoptait une résolution classifiant le logiciel Kaspersky comme logiciel “malveillant” en raison du lien présumé de l’entreprise avec les services de renseignement russes.
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Plus tôt cette année, le 6 mars, le député Européen Gerolf Annemans remit en question la décision du Parlement européen. Il mentionna les expériences favorables des principaux Etats membres tels que l’Allemagne, la France et la Belgique ; l’utilisation des produits du logiciel ne leur ayant jamais posé de problème. Il questionna les motifs ayant engendré la décision du Parlement Européen de qualifier les produits Kaspersky de « dangereux » et « malveillants ». Sa question suggéra même que l’Union Européenne eût pu confondre certains articles de presse avec des rapports de services de renseignements pertinents.
Aujourd’hui, dans sa réponse, la Commission européenne admet son erreur en disant que « la Commission ne dispose d’aucun élément de preuve concernant d’éventuels problèmes liés à l’utilisation des produits Kaspersky Lab ».
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Il y a près d’un an, en mai 2018, le député estonien Urmas Paet de la Commission des affaires étrangères rédigeait un rapport sur la cyberdéfense. Ce rapport recommandait l’interdiction d’utilisation du logiciel Kaspersky par les membres de l’Union européenne. Suivant cette recommandation, le 13 juin 2018, le Parlement européen adoptait une résolution classifiant le logiciel Kaspersky comme logiciel “malveillant” en raison du lien présumé de l’entreprise avec les services de renseignement russes. …/… Plus tôt cette année, le 6 mars, le député Européen Gerolf Annemans remit en question la décision du Parlement européen. Il mentionna les expériences favorables des principaux Etats membres tels que l’Allemagne, la France et la Belgique ; l’utilisation des produits du logiciel ne leur ayant jamais posé de problème. Il questionna les motifs ayant engendré la décision du Parlement Européen de qualifier les produits Kaspersky de « dangereux » et « malveillants ». Sa question suggéra même que l’Union Européenne eût pu confondre certains articles de presse avec des rapports de services de renseignements pertinents. Aujourd’hui, dans sa réponse, la Commission européenne admet son erreur en disant que « la Commission ne dispose d’aucun élément de preuve concernant d’éventuels problèmes liés à l’utilisation des produits Kaspersky Lab ». …/… Source :
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Il y a près d’un an, en mai 2018, le député estonien Urmas Paet de la Commission des affaires étrangères rédigeait un rapport sur la cyberdéfense. Ce rapport recommandait l’interdiction d’utilisation du logiciel Kaspersky par les membres de l’Union européenne. Suivant cette recommandation, le 13 juin 2018, le Parlement européen adoptait une résolution classifiant le logiciel Kaspersky comme logiciel “malveillant” en raison du lien présumé de l’entreprise avec les services de renseignement russes. …/… Plus tôt cette année, le 6 mars, le député Européen Gerolf Annemans remit en question la décision du Parlement européen. Il mentionna les expériences favorables des principaux Etats membres tels que l’Allemagne, la France et la Belgique ; l’utilisation des produits du logiciel ne leur ayant jamais posé de problème. Il questionna les motifs ayant engendré la décision du Parlement Européen de qualifier les produits Kaspersky de « dangereux » et « malveillants ». Sa question suggéra même que l’Union Européenne eût pu confondre certains articles de presse avec des rapports de services de renseignements pertinents. Aujourd’hui, dans sa réponse, la Commission européenne admet son erreur en disant que « la Commission ne dispose d’aucun élément de preuve concernant d’éventuels problèmes liés à l’utilisation des produits Kaspersky Lab ». …/… Source :
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