mercredi 6 décembre 2017
On me demande souvent : » S’il n’y a rien d’absolument sûr dans notre monde, comment pouvez-vous affirmer que KasperskyOS est sûr ? »
La réponse, c’est qu’il y a une différence (un véritable fossé sémantique immense) entre ces deux choses !
Il est vrai qu’il n’y a pas de cybersécurité absolue dans le monde, et cela par sa conception même. Le travail de tous les systèmes de sécurité est d’arriver le plus près possible du 100 % désirable ; plus on s’en approche, plus la tâche devient difficile, lente et coûteuse. Après avoir atteint l’efficacité conventionnelle de 99,9 %, chaque millième de point de pourcentage de plus, et la consommation de ressources et la complexité qui vont avec semblent de la même envergure que tout le travail précédent. Mais l’effort est important : l’immense marché pour de telles technologies de sécurité comprend l’infrastructure critique, l’automobile, les dispositifs de réseautage et bien d’autres domaines qui exigent une sécurité maximale et où chaque millième de point de pourcentage qui n’est pas sécurisé peut provoquer une catastrophe avec des conséquences imprévisibles et des dommages terribles.
En d’autres termes, un système d’exploitation sécurisé vise à se rapprocher des 100 % au point où les cyberattaques deviennent pratiquement impossibles, ou au moins économiquement non rentables. Dans ses efforts pour atteindre cet objectif, KasperskyOS (KOS) est sans égal. C’est une plateforme vraiment sécurisée, et je vais vous expliquer pourquoi.
Pour résumer : KOS est basé à l’origine sur une architecture de micro-noyau sécurisée. Il fonctionne dans un espace d’adresse protégé selon le concept Default Deny (refuser par défaut), et permet aux clients de définir leur logique commerciale dans les moindres détails. Le système est compact et transparent, et il ne contient aucune redondance.
Voici quelques détails supplémentaires.
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On me demande souvent : » S’il n’y a rien d’absolument sûr dans notre monde, comment pouvez-vous affirmer que KasperskyOS est sûr ? » La réponse, c’est qu’il y a une différence (un véritable fossé sémantique immense) entre ces deux choses ! Il est vrai qu’il n’y a pas de cybersécurité absolue dans le monde, et cela par sa conception même. Le travail de tous les systèmes de sécurité est d’arriver le plus près possible du 100 % désirable ; plus on s’en approche, plus la tâche devient difficile, lente et coûteuse. Après avoir atteint l’efficacité conventionnelle de 99,9 %, chaque millième de point de pourcentage de plus, et la consommation de ressources et la complexité qui vont avec semblent de la même envergure que tout le travail précédent. Mais l’effort est important : l’immense marché pour de telles technologies de sécurité comprend l’infrastructure critique, l’automobile, les dispositifs de réseautage et bien d’autres domaines qui exigent une sécurité maximale et où chaque millième de point de pourcentage qui n’est pas sécurisé peut provoquer une catastrophe avec des conséquences imprévisibles et des dommages terribles. En d’autres termes, un système d’exploitation sécurisé vise à se rapprocher des 100 % au point où les cyberattaques deviennent pratiquement impossibles, ou au moins économiquement non rentables. Dans ses efforts pour atteindre cet objectif, KasperskyOS (KOS) est sans égal. C’est une plateforme vraiment sécurisée, et je vais vous expliquer pourquoi. Pour résumer : KOS est basé à l’origine sur une architecture de micro-noyau sécurisée. Il fonctionne dans un espace d’adresse protégé selon le concept Default Deny (refuser par défaut), et permet aux clients de définir leur logique commerciale dans les moindres détails. Le système est compact et transparent, et il ne contient aucune redondance. Voici quelques détails supplémentaires.
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