vendredi 8 mars 2019
Si l’objet du message est une déclaration d’amour, il pourrait attirer votre attention. Mais les phrases comme « Je t’ai écrit une lettre d’amour« , « Je t’aime« , ou « Je tenais à te dire ce que je ressens » annoncent une éventuelle catastrophe.
En effet le ransomwareGandCrab est de retour, plus actif que jamais. Ses développeurs ne cessent de lancer de nouvelles versions pour ne pas perdre la part de marché actuellement détenue, et qu’ils ont si durement gagnée : près de 40 % de l’ensemble du marché des ransomwares. Les cybercriminels qui louent et répandent GandCrab se maintiennent informés, choisissent la diversification et la créativité, et utilisent parfois des méthodes romantiques pour infecter les victimes.
Un ransomware pour les alarmistes responsables (tout le monde)
Combien d’entre nous ouvrirait la pièce jointe d’un e-mail si on nous disait qu’il s’agit du nouveau plan des issues de secours du bâtiment où vous travaillez ? Même si l’adresse e-mail nous est parfaitement inconnue ? Il est fort probable que nous l’ouvrions tous. Au bout du compte, nous ne nous souvenons pas du nom de tous les responsables de sécurité.
Un ransomware pour les payeurs
Une autre méthode consiste à utiliser un e-mail qui ressemble à une facture, ou à une confirmation de paiement disponible, que vous pouvez télécharger depuis WeTransfer. Le lien vous dirige vers un fichier ZIP, ou RAR, et un mot de passe pour pouvoir l’ouvrir. Devinez ce que l’archive contient.
Dites non au crabe gourmand
De nombreuses personnes propagent GandCrab. Il s’agit d’un ransomware-as-a-service, développé par une équipe de malfaiteurs, et loué à d’autres escrocs qui essaient de chiffrer un maximum de cibles. Malgré quelques différences dans la méthode de distribution, vous pouvez vous protéger des pinces gourmandes de GandCrab en adoptant de meilleures habitudes, et en suivant ces quelques conseils :
Lire l’intégralité de l’article.
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Si l’objet du message est une déclaration d’amour, il pourrait attirer votre attention. Mais les phrases comme « Je t’ai écrit une lettre d’amour« , « Je t’aime« , ou « Je tenais à te dire ce que je ressens » annoncent une éventuelle catastrophe.
En effet le ransomwareGandCrab est de retour, plus actif que jamais. Ses développeurs ne cessent de lancer de nouvelles versions pour ne pas perdre la part de marché actuellement détenue, et qu’ils ont si durement gagnée : près de 40 % de l’ensemble du marché des ransomwares. Les cybercriminels qui louent et répandent GandCrab se maintiennent informés, choisissent la diversification et la créativité, et utilisent parfois des méthodes romantiques pour infecter les victimes.
Un ransomware pour les alarmistes responsables (tout le monde)
Combien d’entre nous ouvrirait la pièce jointe d’un e-mail si on nous disait qu’il s’agit du nouveau plan des issues de secours du bâtiment où vous travaillez ? Même si l’adresse e-mail nous est parfaitement inconnue ? Il est fort probable que nous l’ouvrions tous. Au bout du compte, nous ne nous souvenons pas du nom de tous les responsables de sécurité.
Un ransomware pour les payeurs
Une autre méthode consiste à utiliser un e-mail qui ressemble à une facture, ou à une confirmation de paiement disponible, que vous pouvez télécharger depuis WeTransfer. Le lien vous dirige vers un fichier ZIP, ou RAR, et un mot de passe pour pouvoir l’ouvrir. Devinez ce que l’archive contient.
Dites non au crabe gourmand
De nombreuses personnes propagent GandCrab. Il s’agit d’un ransomware-as-a-service, développé par une équipe de malfaiteurs, et loué à d’autres escrocs qui essaient de chiffrer un maximum de cibles. Malgré quelques différences dans la méthode de distribution, vous pouvez vous protéger des pinces gourmandes de GandCrab en adoptant de meilleures habitudes, et en suivant ces quelques conseils :
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En effet le ransomwareGandCrab est de retour, plus actif que jamais. Ses développeurs ne cessent de lancer de nouvelles versions pour ne pas perdre la part de marché actuellement détenue, et qu’ils ont si durement gagnée : près de 40 % de l’ensemble du marché des ransomwares. Les cybercriminels qui louent et répandent GandCrab se maintiennent informés, choisissent la diversification et la créativité, et utilisent parfois des méthodes romantiques pour infecter les victimes.
Un ransomware pour les alarmistes responsables (tout le monde)
Combien d’entre nous ouvrirait la pièce jointe d’un e-mail si on nous disait qu’il s’agit du nouveau plan des issues de secours du bâtiment où vous travaillez ? Même si l’adresse e-mail nous est parfaitement inconnue ? Il est fort probable que nous l’ouvrions tous. Au bout du compte, nous ne nous souvenons pas du nom de tous les responsables de sécurité.
Un ransomware pour les payeurs
Une autre méthode consiste à utiliser un e-mail qui ressemble à une facture, ou à une confirmation de paiement disponible, que vous pouvez télécharger depuis WeTransfer. Le lien vous dirige vers un fichier ZIP, ou RAR, et un mot de passe pour pouvoir l’ouvrir. Devinez ce que l’archive contient.
Dites non au crabe gourmand
De nombreuses personnes propagent GandCrab. Il s’agit d’un ransomware-as-a-service, développé par une équipe de malfaiteurs, et loué à d’autres escrocs qui essaient de chiffrer un maximum de cibles. Malgré quelques différences dans la méthode de distribution, vous pouvez vous protéger des pinces gourmandes de GandCrab en adoptant de meilleures habitudes, et en suivant ces quelques conseils :
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