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Conseils

#StopStalkerware – Les #stalkerwares : Et si la violence commençait dans votre smartphone?


jeudi 10 décembre 2020

Kaspersky vous propose la rediffusion de la table ronde en ligne sur le thème :

  • « Les stalkerwares : Et si la violence commençait dans votre smartphone? ».

Cet événement compte la participation de :

  • Chloé (thegingerchloe), influenceuse engagée sur les thématiques du women empowerment, du body positivisme et contre le cyber-harcèlement
  • Iman Karzabi, chargée de mission à l’Observatoire régional des violences faites aux femmes du Centre Hubertine Auclert
  • Arnaud Dechoux, responsable des affaires publiques au sein de Kaspersky France
  • Anne Souvira, Chargée de mission aux questions relatives à la cybercriminalité à la Préfecture de Police de Paris

L’entreprise Kaspersky a présenté notamment deux solutions : une protection de sécurité pour smartphone, KISA  et la solution développée par notre chercheur Félix Aimé, à destination des associations de protection des victimes notamment (Tiny Check )

Que dit la loi face aux cyberviolences conjugales ?

Le site Je protège ma vie privée en ligne :

Le violentomètre : le Centre Hubertine Auclert a adapté cet outil pour sensibiliser les jeunes femmes aux violences conjugales

Et le cyber-violentomètre :

Les ressources d’aide, d’écoute et d’information :


Une technologie cause de violence domestique : comment est-ce possible ?

Les stalkerwares, ou logiciels espions de harcèlement, sont un exemple de la façon dont les technologies peuvent devenir un risque dans notre vie quotidienne. Ce type de logiciel, disponible dans le commerce, permet de surveiller son conjoint et peut générer de la violence domestique et sexiste, du harcèlement et des abus sexuels. La lutte contre ce problème pluridimensionnel requiert donc une action conjointe des fournisseurs de services de cybersécurité, des institutions non gouvernementales, des organisations d’aide aux victimes, du monde académique et des autorités publiques.

Afin d’apporter des informations utiles aux victimes, les membres de la Coalition contre les stalkerwares ont créé une vidéo qui explique la nature de la menace, présente les caractéristiques de ces logiciels et donne des conseils pratiques pour y faire face.


Principalement utilisé pour espionner les conjoints, les «Stalkerware», aussi appelés «Spouseware», ont connu ces dernières années une hausse inquiétante de leur usage


TinyCheck – A special stalkerware detection tool

To help protect users against stalkerware, Félix Aimé, a security researcher in Kaspersky’s Global Research and Analysis Team (GReAT), has developed ‘TinyCheck’ – a simple tool to detect #stalkerware and #spyware installed on smartphones and tablets, without making the perpetrator aware that such a check is being carried out.

This easy to use open-source tool relies on Raspberry Pi, a widely accessible platform. Using a regular Wi-Fi connection, TinyCheck scans a mobile device’s outgoing traffic and identifies interactions with known malicious sources, such as spyware-related servers.

The aim of #TinyCheck is to help professionals working in non-profit organizations, like service providers, to support as well as protect survivors of domestic violence and their privacy. #DetectionTool #StopStalkerware

Visits: 11

#StopStalkerware – Les #stalkerwares : Et si la violence commençait dans votre smartphone?

Kaspersky vous propose la rediffusion de la table ronde en ligne sur le thème :

  • « Les stalkerwares : Et si la violence commençait dans votre smartphone? ».

Cet événement compte la participation de :

  • Chloé (thegingerchloe), influenceuse engagée sur les thématiques du women empowerment, du body positivisme et contre le cyber-harcèlement
  • Iman Karzabi, chargée de mission à l’Observatoire régional des violences faites aux femmes du Centre Hubertine Auclert
  • Arnaud Dechoux, responsable des affaires publiques au sein de Kaspersky France
  • Anne Souvira, Chargée de mission aux questions relatives à la cybercriminalité à la Préfecture de Police de Paris

L’entreprise Kaspersky a présenté notamment deux solutions : une protection de sécurité pour smartphone, KISA  et la solution développée par notre chercheur Félix Aimé, à destination des associations de protection des victimes notamment (Tiny Check )

Que dit la loi face aux cyberviolences conjugales ?

Le site Je protège ma vie privée en ligne :

Le violentomètre : le Centre Hubertine Auclert a adapté cet outil pour sensibiliser les jeunes femmes aux violences conjugales

Et le cyber-violentomètre :

Les ressources d’aide, d’écoute et d’information :


Une technologie cause de violence domestique : comment est-ce possible ?

Les stalkerwares, ou logiciels espions de harcèlement, sont un exemple de la façon dont les technologies peuvent devenir un risque dans notre vie quotidienne. Ce type de logiciel, disponible dans le commerce, permet de surveiller son conjoint et peut générer de la violence domestique et sexiste, du harcèlement et des abus sexuels. La lutte contre ce problème pluridimensionnel requiert donc une action conjointe des fournisseurs de services de cybersécurité, des institutions non gouvernementales, des organisations d’aide aux victimes, du monde académique et des autorités publiques.

Afin d’apporter des informations utiles aux victimes, les membres de la Coalition contre les stalkerwares ont créé une vidéo qui explique la nature de la menace, présente les caractéristiques de ces logiciels et donne des conseils pratiques pour y faire face.


Principalement utilisé pour espionner les conjoints, les «Stalkerware», aussi appelés «Spouseware», ont connu ces dernières années une hausse inquiétante de leur usage


TinyCheck – A special stalkerware detection tool

To help protect users against stalkerware, Félix Aimé, a security researcher in Kaspersky’s Global Research and Analysis Team (GReAT), has developed ‘TinyCheck’ – a simple tool to detect #stalkerware and #spyware installed on smartphones and tablets, without making the perpetrator aware that such a check is being carried out.

This easy to use open-source tool relies on Raspberry Pi, a widely accessible platform. Using a regular Wi-Fi connection, TinyCheck scans a mobile device’s outgoing traffic and identifies interactions with known malicious sources, such as spyware-related servers.

The aim of #TinyCheck is to help professionals working in non-profit organizations, like service providers, to support as well as protect survivors of domestic violence and their privacy. #DetectionTool #StopStalkerware

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#StopStalkerware – Les #stalkerwares : Et si la violence commençait dans votre smartphone?

Kaspersky vous propose la rediffusion de la table ronde en ligne sur le thème :

  • « Les stalkerwares : Et si la violence commençait dans votre smartphone? ».

Cet événement compte la participation de :

  • Chloé (thegingerchloe), influenceuse engagée sur les thématiques du women empowerment, du body positivisme et contre le cyber-harcèlement
  • Iman Karzabi, chargée de mission à l’Observatoire régional des violences faites aux femmes du Centre Hubertine Auclert
  • Arnaud Dechoux, responsable des affaires publiques au sein de Kaspersky France
  • Anne Souvira, Chargée de mission aux questions relatives à la cybercriminalité à la Préfecture de Police de Paris

L’entreprise Kaspersky a présenté notamment deux solutions : une protection de sécurité pour smartphone, KISA  et la solution développée par notre chercheur Félix Aimé, à destination des associations de protection des victimes notamment (Tiny Check )

Que dit la loi face aux cyberviolences conjugales ?

Le site Je protège ma vie privée en ligne :

Le violentomètre : le Centre Hubertine Auclert a adapté cet outil pour sensibiliser les jeunes femmes aux violences conjugales

Et le cyber-violentomètre :

Les ressources d’aide, d’écoute et d’information :


Une technologie cause de violence domestique : comment est-ce possible ?

Les stalkerwares, ou logiciels espions de harcèlement, sont un exemple de la façon dont les technologies peuvent devenir un risque dans notre vie quotidienne. Ce type de logiciel, disponible dans le commerce, permet de surveiller son conjoint et peut générer de la violence domestique et sexiste, du harcèlement et des abus sexuels. La lutte contre ce problème pluridimensionnel requiert donc une action conjointe des fournisseurs de services de cybersécurité, des institutions non gouvernementales, des organisations d’aide aux victimes, du monde académique et des autorités publiques.

Afin d’apporter des informations utiles aux victimes, les membres de la Coalition contre les stalkerwares ont créé une vidéo qui explique la nature de la menace, présente les caractéristiques de ces logiciels et donne des conseils pratiques pour y faire face.


Principalement utilisé pour espionner les conjoints, les «Stalkerware», aussi appelés «Spouseware», ont connu ces dernières années une hausse inquiétante de leur usage


TinyCheck – A special stalkerware detection tool

To help protect users against stalkerware, Félix Aimé, a security researcher in Kaspersky’s Global Research and Analysis Team (GReAT), has developed ‘TinyCheck’ – a simple tool to detect #stalkerware and #spyware installed on smartphones and tablets, without making the perpetrator aware that such a check is being carried out.

This easy to use open-source tool relies on Raspberry Pi, a widely accessible platform. Using a regular Wi-Fi connection, TinyCheck scans a mobile device’s outgoing traffic and identifies interactions with known malicious sources, such as spyware-related servers.

The aim of #TinyCheck is to help professionals working in non-profit organizations, like service providers, to support as well as protect survivors of domestic violence and their privacy. #DetectionTool #StopStalkerware

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